Cette journée était semblable à toutes les autres journées de ce mois de mai : belle et ensoleillée. La jeune fille profitait de sa journée de repos pour flâner dans la ville. Elle n’avait pas vraiment eu le temps de se reposer dernièrement et elle appréciait cette petite promenade. Elle marcha ainsi nonchalamment pendant une bonne heure avant de se décider à rentrer chez elle. Il faisait encore beau et chaud, elle décida de se mettre à lire sur la terrasse afin de profiter au maximum de cette journée.
Cela faisant maintenant une bonne demi-heure qu’elle était installée sur sa terrasse, elle commença à s’endormir. Soudain un mouvement au coin de son œil la réveilla brusquement. Elle se leva et se pencha par-dessus la rambarde pour voir ce qui venait de passer en dessous de sa fenêtre. En une fraction de seconde elle bascula par-dessus, n’eut pas le temps de crier, et mourut avant de toucher le sol.
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« Bon sang ! Coupez cette alarme ! C’est assourdissant !
- Bien Monsieur. »
L’homme en costume observa avec attention les allées et venues des employés. Il consulta sa montre nerveusement.
« Mademoiselle, pouvez-vous me dire ils sont passés ?
- Ils sont déjà en route Monsieur.
- Parfait ! »
Il tourna les talons et se dirigea vers son bureau. Il se demandait quelle catastrophe allait encore leur tomber dessus.
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L’équipe se dirigeait à toute vitesse vers le lieu qu’on leur avait indiqué. Ils étaient tous excités, comme à leur habitude. Ils ressentaient tous également un peu d’inquiétude, ne sachant pas ce qu’ils allaient trouver sur place.
Ils arrivèrent dans une petite résidence qui semblait bien tranquille. Les gens vaquaient tranquillement à leurs occupations. L’équipe resta quand même sur ses gardes, ça ne serait pas la première fois qu’un endroit aussi calme cache le pire. Ils étaient observés avec étonnement et inquiétude par les habitants. Après tout, ce n’était pas tous les jours que ces derniers voyaient des militaires armés dans leur quartier tranquille.
« Contrôle de routine mesdames et messieurs, ne vous inquiétez pas. »
Les gens ne semblaient pas réellement plus rassurés mais retournèrent à leurs occupations. L’équipe avançait prudemment dans le quartier, près à toute éventualité. Soudain des cris retentirent au loin. Les cinq personnes coururent comme un seul homme vers la source de ces cris. Ils croisèrent une femme qui semblait fuir quelque chose.
« SAUVEZ-VOUS ! SAUVEZ-VOUS AVANT QU’IL NE VOUS TUE ! »
Elle ne s’arrêta pas et continua à courir. Les cinq personnes se regardèrent et continuèrent leur chemin. Quelques mètres plus loin, ils tombèrent sur un bosquet. Ils ralentirent l’allure. Des grognements retentirent de l’autre côté du bosquet. Ils avancèrent prudemment, vérifiant en même temps que leurs armes fonctionnaient. Le plus jeune du groupe semblait nerveux, il s’approcha un peu plus près. Il fut soudainement mis à terre et maintenu au sol par une force herculéenne. Il vit alors avec horreur qui venait de lui sauter dessus, et se trouvait toujours au-dessus de lui était un vélociraptor. Il devait la vie sauve à son fusil d’assaut qui retenait les griffes du dinosaure et l’empêchait de le charcuter. Il était en panique complète et tentait d’empêcher la bête de le tuer. Ses collègues furent plus rapides et endormirent l’animal avant qu’il ne le tue. Un de ses collègues l’aida à se relever.
« Alors cette première journée ?
- Riche en émotions !
- Toujours intéressé par le poste ?
- Oh que oui, Monsieur Temple ! Pour rien au monde je ne partirais ! »
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